Marie-Monique Robin : « L’ortie Est Devenue Pour Moi Un Symbole De Résistance »

Et, là, j'ai découvert les mille façons de l'utiliser: soupe, jus, flan, confiture, beignet, gâteau, sirops, savon, crème, shampoing, tissu, purin (c'est un fertilisant et un insecticide naturel)… J'ai aussi appris qu'elle était nutritive, riche en vitamines, minéraux, protéines, mais aussi tonique, régénérante, dépolluante… Cela a changé ma vie. L'ortie est devenue pour moi un symbole de résistance que l'agriculture industrielle et chimique s'évertue à détruire. Marie-Monique Robin : « L’ortie est devenue pour moi un symbole de résistance ». Lire aussi La brandade d'ortie: la recette de Marie-Monique Robin Mes parents sont à la retraite mais vivent toujours sur leurs terres. Quand mon frère a repris la ferme, il a vu mon film Le Monde selon Monsanto et a décidé de tout passer en bio. C'est dans le jardin de mes parents que je suis allée chercher des orties pour les replanter dans mon potager en banlieue parisienne. J'en ai deux mètres carrés, que je récolte régulièrement pour les cuisiner. J'aime tout particulièrement cette recette de « brandade », tirée d'un livre du botaniste François Couplan, car elle joue avec la saveur presque marine que peuvent avoir les orties matures.

Marie-Monique Robin : « L’ortie Est Devenue Pour Moi Un Symbole De Résistance »

Vous ignorez qui est l'autre personne? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

La Fessée Aux Orties...?

M. Tampard avait fait venir Mlle Gervaise dans son bureau et il regardait fixement cette belle fille blonde, aux formes attirantes et presque voilées d'une robe qui lui moulait les seins et lui plaquait aux cuisses. Il savait qu'elle mentait, car la terreur de la belle-fille de sa voisine ne lui avait pas échappé et il voulait tout à la fois la confondre et lui faire dire quel motif la poussait à éviter la fessée à Chérie. Mais Mlle Germaine supportait vaillamment l'éclat de ses yeux sans, quand même, que sa tenue eût de l'arrogance. Sa poitrine était oppressée, cela seulement marquait son trouble, un trouble uniquement charnel. Il y a des accès de curiosité féminine qui sont aussi impénétrables que les voies de la Providence. La jolie blonde bien en chair voulait détourner sur elle la colère du contremaître dans le plus lascif des désirs d'être traitée comme Chérie. Une bonne fessée. Sa chair frémissait, ses nerfs vibraient, elle voulait de tous ses fibres goûter à cette volupté qu'elle devinait supérieure à celle de voir claquer et de claquer soi-même.

Une Bonne Fessée

– « Ne perdons pas de temps, dit Margaret en approchant la chaise à fessée et un tabouret pour le même usage. Bettina, Géraldine, vous savez pourquoi vous allez être punies ensembles... » Les rebelles - chapitre 57 Dans les lycées, les jeunes professeurs peuvent être tentés par des rapprochements avec les élèves de type amitié, voire plus, ce qui peuvent déraper et mener à des situations proscrites par les règlements intérieurs. Qui a déjà subi les orties sur les fesses ?. Notre professeure d'informatique appliqué, Sandrine P., trente et un ans, est une femme assez libre et joviale avec ses élèves. A contrario de ses collègues de Ste CROIX, elle n'hésite pas à faire copain-copain avec ses étudiants. D'ailleurs on peut la voir discuter de tout autre chose que d'enseignement lors des intercours ou bien venir avec nous pour prendre une boisson à la cafète de l'établissement.

Qui A Déjà Subi Les Orties Sur Les Fesses ?

G Gep38ded 31/08/2006 à 17:54 T The48km 31/08/2006 à 17:55 Publicité, continuez en dessous G Gep38ded 31/08/2006 à 17:59 ok on combinera tout ça: des orties des champs pour une procession de pénitents flagellants: ca te va? Bien sûr avec pauses dans des champs où... ben où rien, tu le sais bien na!

J'ai encore bien le souvenir de cette claque sur les cuisses nues, dans cette très courte culotte un peu élastique comme on les portait à l'époque. Première découverte de la sensation. J'avais également des cousins qui recevaient des fessées et deux autres qui recevaient le martinet. J'ai le souvenir précis d'être arrivé un jour avec mes parents chez ces cousins de mon père et que ma jeune cousine qui devait avoir treize ans avait reçu le martinet pour son insolence. Je n'ai rien vu, mais c'était très troublant, sa honte devant nous, sa mère qui parlait de la punition. Je me souviens aussi d'avoir demandé à un adolescent que j'aimais bien de me fesser, ce qu'il avait refusé. Je devais avoir 7 ou 8 ans et lui 13 ou 14. Comme j'étais un lecteur précoce, j'ai ensuite recherché dans les livres toutes les scènes de punitions avec un plaisir coupable. J'avais peur que l'on découvre les raisons profondes qui m'amenaient à lire la Comtesse de Ségur et surtout à relire de temps en temps les mêmes passages cinglants.

July 2, 2024