Histoire Sexe Oncle

J'ai ensuite défendu Nanu et nous avons fêté l'anniversaire de mon cousin et je suis partant, elle m'a serré dans ses bras et a quitté la maison avec ses enfants depuis lors, tous les soirs, nous nous réconfortons.

  1. Val défoncée par son oncle
  2. Mon Oncle, Le Cochon / Histoire Gay

Val Défoncée Par Son Oncle

—? Ca a du mal a rentrer, mais ça va le faire!? J'avais mal, je le suppliais d'arrêter, mais mon oncle avait décidé de m'utiliser comme un objet! —? Je suis sûr que t'aimes te faire sodomiser, hein ma ptite salope!? Au bout de cinq/six minutes, interminables pour moi, il sortit sa bite de mon cul! —? Tu vas me sucer comme le fond les actrices de films de cul!? Il retira sa capote et attrapa deux cordelettes dans sa table de nuit, puis me fit allonger sur le dos, la tête dans le vide. Il attacha ma main droite a un pied du lit et la main gauche à l'autre avant de se mettre à genoux et de fourrer sa bite entre mes lèvres. Soumis, je le laissais baiser ma bouche. Il enfonçait sa bite à fond à chaque coup, me coupant le souffle. Val défoncée par son oncle. Il me lima la bouche pendant de longues minutes, ma salive débordait sur mes joues. Il finit par éjaculer, se retirant avant la fin pour m'inonder le visage —? C'est bien ma cochonne, tu es obéissante!? Il ne me détacha pas tout de suite. Je me sentais sale, le visage plein de sperme mélangé à ma salive.

Mon Oncle, Le Cochon / Histoire Gay

En un rien de temps il est en moi, il me pénètre, ça brûle un peu mais j'aime le sentir, il est tellement excité qu'il éjacule très vite. - Je suis vraiment désolé... - C'est pas grave, tu feras mieux la prochaine fois. Pour ma première fois je suis déçue, j'aurais voulu qu'il me fasse jouir. nous nous disons au revoir. Mon Oncle, Le Cochon / Histoire Gay. Le désir de sexe est en moi, je sens que je ne suis pas comme les autres filles de mon âge, j'aime me toucher chaque soir, et chaque soir j'explore mon corps, j'adore cela. Le lendemain matin je suis prête, mes affaires emballées, ma mère m'emmène chez mon oncle Léon, on fait cinq cent kilomètres pour y arriver. Il habite un petit village perdu à quelques kilomètres de la ville, avec rien aux alentours. Ma mère se gare dans l'allée, puis je sors, j'ai un peu peur, je ne le connais pas vraiment, puis j'entends au loin: - Bonjour Lisa, approche! Je tire ma valise du coffre et j'approche de Léon. - Bonjour Léon! - Tu es un beau petit bout de femme dis donc, ta mère me l'avait pas dit... - Merci, si tu veux bien j'aimerais déposer mes affaires.

Elle s'est laissé aller depuis ce matin sans doute! Pensais-je. — Viens là … Me dit-elle en s'asseyant sur le rebord du lavoir, jambes largement écartées. — Viens sentir ta tata qui mouille pour toi! Me voila penché entre ses cuisses, lui humant la culotte, effectivement, elle sent bon la femelle en chaleur et le pipi. Elle me prend par les cheveux pour m'attirer sur sa motte odorante et me fait comprendre que je dois la lécher ce que je fais avec plaisir, pour une fois que j'ai son parfum en direct, à la source. J'écarte le tissu et pose ma bouche sur les chairs brûlantes de désir, sa vulve est énorme, ses grandes lèvres sont gonflées comme des pneus et les petites pendent comme des escalopes flétries mais juteuses, de deux doigts. Elle décalotte son clitoris qui n'est pas comme la moyenne. C'est un demi cornichon en forme de petite bite qui dégage un parfum entêtant. Je mange le tout comme un affamé, fouillant dans ses replis intimes, buvant son jus délicieux, fourrant ma langue dans son puits d'amour qui suinte de liqueur.

July 5, 2024