Mise Au Poing Medecins Du Monde De Rugby

Du 10 février au 18 mars, dans le 3ème arrondissement de Paris, venez voir Mise au Poing, l'exposition de Médecins du Monde, qui redonne un visage aux laissés-pour-compte de notre société. Contre l'exclusion sociale et l'indifférence générale, six photographes et un vidéaste de talent sont allés à la rencontre de ceux que l'on ne rencontre […] Du 10 février au 18 mars, dans le 3ème arrondissement de Paris, venez voir Mise au Poing, l'exposition de Médecins du Monde, qui redonne un visage aux laissés-pour-compte de notre société. Contre l'exclusion sociale et l'indifférence générale, six photographes et un vidéaste de talent sont allés à la rencontre de ceux que l'on ne rencontre jamais. Dans cette expo, vous ne verrez pas les portraits « des SDF », « des migrants » ou « des travailleuses du sexe » mais ceux de Nicole, Sara, Vic, Gaëlle ou encore Terry, des individus aux blessures et au parcours bien distincts. Une mise au poing « pour dénoncer, pour s'indigner, pour ne pas se résigner ».

Mise Au Poing Medecins Du Monde Canada

Publié le 10 février 2017 (modifié le 20 octobre 2021 à 10h54) Par Médecins du Monde Temps de lecture: 1 min Adresse 15 rue de Thorigny, 75003 Paris, France Date de l'événement Du 10 février 2017 à 14h00 au 18 mars 2017 à 19h00 "MISE AU POING", l'événement phare de l'Association Médécins du Monde, qui fête ses 30 ans de combat contre l'exclusion en France ainsi que sur la protection des plus vulnérables d'entre nous. Cette « mise au poing » est l'occasion de redonner un visage aux invisibles. Six photographes et un vidéaste sont allés à leur rencontre. Tous ont observé comment celles et ceux qui vivent la précarité y font face au quotidien, comment ils essayent de maintenir coûte que coûte les liens, fussent-ils très fins, qui les attachent encore à la société. En donnant à voir l'épreuve de la précarité, « Mise au poing » interroge les fondements du vivre ensemble et, dans un même mouvement, dessine pour l'avenir les contours d'une société solidaire. Un poing, c'est tout. L'association Médecins du Monde Les actions Association indépendante et humanitaire, Médecins du Monde agit au-delà du soin.

Mise Au Poing Medecins Du Monde De Rugby

C'est cette absence de voix qui efface le visage des exclus qui finissent par ne plus compter du tout. Cette « mise au poing » est l'occasion de redonner un visage aux invisibles. Six grands photographes contemporains ont accepté d'aller à leur rencontre. De l'Espagnol Alberto Garcia-Alix au Néerlandais Henk Wildschut, du Belge Cédric Gerbehaye aux Français Valérie Jouve, Claudine Doury et Denis Rouvre, tous ont observé comment celles et ceux qui vivent la précarité y font face au quotidien, comment ils essayent de maintenir coûte que coûte les liens, fussent-ils très fins, qui les attachent encore à la société. En donnant à voir l'épreuve de la précarité, « Mise au poing » interroge les fondements du vivre ensemble et, dans un même mouvement, dessine pour l'avenir les contours d'une société solidaire. ——— Direction artistique Fany Dupêchez & Pascal Michaut (Art Photo Projects) Alexandre Jalbert (Médecins du Monde) Entrée libre du mardi au vendredi: 14h — 19h Samedi et dimanche: 11h — 19h (Ouverture exceptionnelle les dimanches pendant la durée de l'exposition)

Mise Au Poing Medecins Du Monde 2010

C'est cette absence de voix qui efface le visage des exclus qui finissent par ne plus compter du tout. Cette « mise au poing » est l'occasion de redonner un visage aux invisibles. Six photographes et un vidéaste sont allés à leur rencontre. Tous ont observé comment celles et ceux qui vivent la précarité y font face au quotidien, comment ils essayent de maintenir coûte que coûte les liens, fussent-ils très fins, qui les attachent encore à la société. En donnant à voir l'épreuve de la précarité, « Mise au poing » interroge les fondements du vivre ensemble et, dans un même mouvement, dessine pour l'avenir les contours d'une société solidaire. Un poing, c'est tout. Inscription au Vernissage mercredi 11 octobre 2017 à 18h30 à Lille Avec le soutien de l'INA

Mise Au Poing Medecins Du Monde Belgique

Témoigner, c'est le choix de dénoncer les injustices qui continuent de frapper les plus vulnérables d'entre nous, et de rompre le silence des grandes détresses. Car qu'ils soient sans papiers, sans droits, sans logement, sans argent, leur voix n'est plus entendue, elle n'a plus droit au chapitre. C'est cette absence de voix qui efface le visage des exclus qui finissent par ne plus compter du tout. Cette « mise au poing » est l'occasion de redonner un visage aux invisibles. Six grands photographes contemporains ont accepté d'aller à leur rencontre. De l'Espagnol Alberto Garcia-Alix au Néerlandais Henk Wildschut, du Belge Cédric Gerbehaye aux Français Valérie Jouve, Claudine Doury et Denis Rouvre, tous ont observé comment celles et ceux qui vivent la précarité y font face au quotidien, comment ils essayent de maintenir coûte que coûte les liens, fussent-ils très fins, qui les attachent encore à la société. En donnant à voir l'épreuve de la précarité, « Mise au poing » interroge les fondements du vivre ensemble et, dans un même mouvement, dessine pour l'avenir les contours d'une société solidaire.

A ssis sur un lit dans une petite clinique orthopédique de Kiev, Daviti Souleïmanichvili écoute attentivement les médecins lui expliquer les différentes prothèses susceptibles de remplacer sa jambe gauche, arrachée pendant les combats à Marioupol. Né en Géorgie il y a 43 ans et naturalisé Ukrainien, il fait partie des innombrables soldats amputés depuis le début de la guerre, qui attendent avec impatience un pied ou un bras artificiel. Membre du régiment Azov, il était basé à Marioupol, la ville portuaire du Sud que les Russes ont pilonnée pendant trois mois avant de s'en emparer définitivement la semaine dernière. Au premier rang dans la bataille, ce sergent, connu sous le nom de guerre "Scorpion", a été grièvement blessé le 20 mars, quand un char russe, situé à environ 900 mètres, a tiré dans sa direction. "J'ai reçu des éclats, volé à quatre mètres de distance et un mur m'est tombé dessus", raconte-t-il à l' AFP d'une voix calme. "Quand j'ai voulu me lever, je ne sentais plus ma jambe, ma main était abîmée et il me manquait un doigt. "

Mais, selon cette revue destinée aux personnes amputées, "le nombre de cliniques de ce type est limité en Ukraine et les chaînes d'approvisionnement imparfaites. " Sur-mesure D'après le docteur Stetsenko, l'Ukraine compte une trentaine d'établissements qui fabriquent des prothèses. Sa clinique en produit et en pose environ 300 par an. Malgré les énormes besoins, elle ne pourra sans doute pas accélérer la cadence car, dit-il, chaque prothèse est "personnalisée" pour répondre à la blessure et aux besoins du patient. Ainsi, pour Daviti qui est artilleur, les médecins vont ajouter 15 kilos à son poids, afin que sa future jambe résiste à la charge des armes. "Il me faut une prothèse qui permette de faire toutes les manoeuvres", insiste-t-il, alors qu'on lui présente un pied en carbone et un autre en caoutchouc. Dans une semaine, il reviendra pour obtenir une prothèse temporaire avec laquelle il s'entraînera à marcher. Quant à la prothèse définitive, personne ne sait quand elle pourra être posée.

July 5, 2024