Refus De Soins Des Personnes Âgées En Ehpad - Actualité Des Seniors &Amp; Bien Etre - Médecine Et Technologies

Note de Recherches: Analyse De Pratique: Refus De Soins. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 1 Mars 2014 • 2 175 Mots (9 Pages) • 19 132 Vues Page 1 sur 9 Lieu de stage: J'ai effectué mon cinquième stage, au sein d'un centre d'hébergement et de soins de longue durée. Cette structure accueille des personnes âgées en perte d'autonomie qui ne peuvent plus vivre dans leurs milieux de vie habituel. La structure peut accueillir jusqu'à 96 patients. 1-Description de la situation: Mme, S 90ans est née le 28 juin 1923 à Paris. Elle se présente comme une personne de taille normale et en surcharge pondérale (1m60 pour 88, 8kg). Elle a un IMC à 37, 7 ce qui la situe en obésité modérée. Mme S a un frère, elle s'est mariée en 1949 et de cette union, trois enfants sont nés. Son mari n'est pas placé en institution. Il vient la voir de temps en temps accompagné de ses enfants mais ses déplacements restent difficiles. Elle est d'origine et de nationalité Française. Mme S est catholique et se rend régulièrement à la messe au sein de l'établissement.
  1. Analyse de situation refus de soins coordonnés

Analyse De Situation Refus De Soins Coordonnés

Le refus de soins des seniors en maison de retraite Accompagner le refus de soins est tout aussi important et nécessaire que de le comprendre. Il y a la loi, et le devoir d'informations, mais il y a aussi l'obligation de respecter le choix des patients. Refus de soins et serment d'Hippocrate: la difficile équation « Au moment d'être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux… » Adimpletionum Ainsi commence le serment d'Hippocrate revu par l'Ordre des médecins en 2012, serment qui, s'il n'a pas de valeur juridique, est considéré comme l'un des textes fondateurs de la déontologie médicale. Les médecins, et les soignants en général, se retrouvent face à un dilemme lorsqu'ils sont confrontés au refus de soins de certains de leurs patients. Pour bien comprendre la problématique du refus de soins, tentons d'en déterminer les tenants et les aboutissements… En savoir plus: Formation Refus de soins en maison de retraite Refus de soins: un droit à part entière Avant toute chose, le refus de soins est un droit consacré par l'article L.

S'ajoutent à cela la mécompréhension des enjeux, la défiance à l'égard des médecins et du système de santé, la lassitude face à des traitements lourds et jusqu'alors inefficaces et parfois l'envie d'en finir avec la maladie et donc avec la vie. Le refus de soins peut également venir de l'histoire même du patient. Est ainsi être cité l'exemple de ce patient qui avait vu partir sa mère à l'hôpital pour une intervention tout à fait bégnine et qui, suite à son décès des suites opératoires, avait développé une aversion totale pour tout ce qui, de près ou de loin, touchait au médical. Une chose est sûre, le refus de soins n'est jamais anodin. Il dit des choses sans les nommer et encourage le soignant à s'interroger sur sa démarche, à écouter et à comprendre son patient, tout l'enjeu consistant pour lui à harmoniser son désir de soigner et les attentes de son patient. Pour mieux comprendre le refus de soins: privilégier le dialogue Le refus de soins renvoie donc le soignant à son devoir de soigner, de guérir et à défaut, de soulager, mais il l'invite aussi à repenser sa relation au soin.

July 3, 2024